La chronique du roman « Feeling good, l’assistant » de Fleur Hana

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Jeune femme moderne et indépendante de 28 ans, Sarah se laisse entraîner dans un pari par ses amis. Libre de coucher avec « le coup d’un soir », elle se retrouve dans les bras d’un inconnu froid et passionné, distant et mystérieux, qui va ébranler ses certitudes. Une comédie sentimentale coquine, sensuelle et culottée !

Il est sorti en juin 2017 aux Editions France Loisirs, collection piment.

Mon avis:

Lors d’une soirée trop arrosée, les amis de Sarah, une jeune femme de 28 ans, la mettent au défi de draguer un type qui lui plaît, mais qui ne manifeste aucun intérêt pour elle. Ni une ni deux, elle va leur prouver qu’une femme libérée peut aussi passer une nuit de folie, sans lendemain, avec un inconnu.

Oui, mais voilà, le lundi, quand Sarah arrive au travail, elle se retrouve face a son inconnu qui n’est autre que son nouvel assistant. Sarah perdra vite le contrôle en la présence de cet homme ténébreux qui risque de mettre sa vie sens dessus dessous…

Cela avait plutôt bien démarré, le style de Fleur Hana est agréable, plein de pep’s et prenant. L’intrigue commence bien, il y a de l’humour et on se laisse prendre au jeu. Malheureusement, cela ne dure pas. En effet, le récit devient rapidement creux, redondant où les scènes de sexe sont omniprésentes au détriment du scénario et de la romance qui passe au second plan. De ce fait, cela donne une histoire qui manque cruellement d’approfondissements et de sentiments. De plus, les personnages sont peu attachants et intéressants. Sarah est plus en relief, mais trop girouette pour que je l’apprécie. Quant à Sandro, il est fade. D’autre part, je n’ai ressenti aucune émotion, leur couple m’a laissée totalement de marbre, je n’ai ressenti aucune alchimie entre eux.

Pour conclure :

« L’assistant » est une déception. Cela avait pourtant bien commencé, mais ensuite, j’ai eu vite l’impression de lire une longue suite de scènes de sexe. Je n’ai rien contre les romances érotiques, mais pour moi, cela manque d’équilibre entre l’histoire et les fameuses scènes, ainsi que de consistance et d’exploitation.