La chronique du roman « Pour le meilleur et pour le pire » de Sarah Morgan.

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Colère, frustration… Les sentiments se bousculent dans la tête de Selene après qu’elle a appris que Stefan Ziakas – l’homme dans les bras duquel elle s’est abandonnée le temps d’une nuit – s’est en fait servi d’elle. Car Stefan ne souhaitait qu’une chose en la séduisant  : atteindre le père de Selene, son plus grand rival en affaires… Blessée, Selene décide alors de fuir le plus loin possible, et ne plus rien avoir à faire avec cet homme arrogant et sans cœur. Une résolution qui serait plus facile à tenir si les images de la nuit inoubliable qu’ils ont partagée ne revenaient la hanter, jour et nuit…

Il est sorti le 1 février 2018 aux Editions Harlequin.

Mon avis:

Selene est la fille d’un riche homme d’affaires vivant sur une île grecque. Tout le monde la voit comme une princesse gâtée et couvée par son père. Mais derrière le visage de la famille parfaite, Selene et sa mère sont prisonnières d’un homme abusif.

Selene se sentant de plus en plus en danger, réfléchi à un plan d’évasion. Fuir et créer sa propre entreprise, mais pour cela il lui faut de l’argent. Elle ne voit qu’un homme capable de se confronter à son père, Stefanos Ziakas, un milliardaire qui n’a peur de rien ni de personne… Mais rien ne se passera comme prévu…

Le style de Sarah Morgan est toujours agréable, toutefois elle m’avait habituée à mieux, beaucoup mieux. Avec « Pour le meilleur et pour le pire », on tombe dans une romance clichée, à l’intrigue banale et  creuse, avec des personnages caricaturaux et plats. Je n’ai pas été transportée par ma lecture et je n’ai pas réussi à m’attacher à Selene et Stefanos. Ils manquent de profondeur, d’alchimie, de crédibilité et tout se déroule trop facilement et simplement.

Pour conclure :

Sarah Morgan, avec qui j’ai eu tant de coups de cœur avec ses autres sagas, m’offre ma première déception. C’est une comédie romantique assez mièvre qui manque cruellement d’exploitation et de sentiments. Cette fois, cela a été pour le pire… dommage.